Avec un peu de retard sur le programme, voici enfin venu le moment que vous attendiez tous, le résultat du tirage au sort pour savoir dans quel ordre la sentence tombera.

Messieurs les jeux vidéos, préparez vous, plus jamais un être humain ne pourra ignorer les jeux de cette liste. Plus jamais un être humain pourra feindre "ne pas avoir été au courant" que tel jeu est une perle, un bijoux, un must have !

Un petit rappel des règles : A partir du moment où une personne à posté le jeu qu'il estime mériter trôner à la place qui est la sienne, le joueur suivant, en respectant l'ordre, aura 72h pour poster le jeu qui suivra dans le classement. Après 72h, sans réponse, on passe au suivant.

On ne nomine pas un jeu d'une série dont on a déjà sois même nominé à un jeu de la même série.

Essayez de faire des présentations étayée de vos jeux (années, genre, éditeur, peut-être quelques illustrations). On ne cite pas d'autres jeux dans que celui dont on parle. On évite dans les commentaires (je ferai un autre topic dédié) de citer d'autres jeux.

L'ordre est le suivant :

1)acwi
2)nosckaj
3)Sly21
4)zefreidz
5)Anonyme1
6)niarfounet
7)Jelly
8)papaoursdelux

Messieur, à vous de jouer. Nous allons de 1 à 100.

P.S. : On essaie de garder le topic propre en ne postant que les jeux que l'on nomine ici.

Mais c'edt ou alors que j'ai copier/coller ?
au mauvais endroit semblerait il

Zefreidz, avant d' aller skier a écrit en plusieurs endroits :
Street fighter 2! Le jeu qui a fait fureur en arcade, qui a fait vendre plein de snes, qui a fait sortir à Sega une manette à six bouton pour que les joueurs megadrive ne se sentent pas lésé.
Grosse palette de coups, énorme pour l'époque, jouabilite au oignons, 8 perso jouables(ryu le dragon sage, ken le racing tiger, chun li la meuf aux grosses cuisses, Honda le sumo au cent baffes, dhalsim le yogi aux bras extensible qui crache le feu, zangief le lutteur soviétique qui aime se battre avec les ours, guile le militaire sonic à la coupe improbable, et blanka la bête verte électrifié) , et 4 boss(balrog, qui est une parodie de Mike tyson, d'ailleurs il s'appellait a la base m. Bison, pour les version occidentale il fut renommée pour éviter les tribunaux, Vega, tapette en pyjama, masque griffe qui s'appelait à l'origine balrog, sagat, boss déchu du 1, boxeur Thaï de +de 2 mètres, et m. Bison, militaire factice qui s'appelait à la base Vega) qui pousseront bcp de joueur a retourner le jeu à cause d'une intime conviction devenu légende selon laquelle on pourrait jouer les boss...
Ben non, faudra attendre street fighter 2',capcom grâce à SF2 deviendra riche, en lançant la mode des dlc physiques à prix cartouches, suivront street fighter 2 turbo, super street fighter 2 avec l'arrivée de 4 perso avec décors assorti (t. Hawk, un indien plus grand que sagat et plus large que zangief, fei long de la grande famille des clones de Bruce lee, cammy petite bombasse de l'armée britannique en bikini rikiki, et dee Jay kick clown boxeur jamaicain).
Dans la version super street fighter 2 turbo apparaîtront les super, sortent de coup ultime qui se déclenche à l'aide de la jauge.
Bcp tenterons de le détrôné, roster meilleur, attaques surpuissantes, goritude mais aucun n'arrivera a égaler ce gameplay nerveux, souple tactique et stratégique.

Le n°10 est....

Portal est un jeu vidéo de réflexion et d'action en vue à la première personne développé par Valve Corporation. Le jeu est disponible pour la première fois le 10 octobre 2007 dans le pack The Orange Box pour Windows et Xbox 360, puis pour la PlayStation 3 le 11 décembre 2007. La version du jeu pour Windows est également disponible via la plate-forme de téléchargement Steam (appartenant à Valve), et est distribué en version boîte depuis le 9 avril 2008. La version Mac est sortie le 12 mai 2010 en même temps que la version Mac de la plate-forme Steam. La version Linux est disponible depuis le 3 mai 2013.

Le jeu consiste en une succession de parcours que le joueur doit franchir en téléportant son personnage ou des objets à l'aide d'une arme capable de créer un portail spatial entre deux surfaces planes, solides et non métalliques. Le personnage est mis au défi par une intelligence artificielle qui lui promet régulièrement de recevoir un gâteau à l'issue des tests.

Portal est souvent présenté comme l'un des jeux les plus originaux de 2007, bien qu'il soit relativement rapide à terminer. Le jeu est acclamé pour son gameplay unique et l'humour noir omniprésent dans son intrigue. La popularité du jeu pousse Valve à en développer la franchise, notamment en éditant divers produits dérivés tirés des éléments du jeu.

Dans Portal, le joueur contrôle en vue à la première personne un personnage nommé Chell qui doit traverser une série de salles en utilisant un générateur à portails (portal en anglais). Ce générateur permet de créer deux portails distincts, l'un orange, l'autre bleu sur une surface plane composée de particules lunaires. Aucun d'entre eux n'est nécessairement l'entrée ou la sortie, et tout objet traversant un portail ressortira par l'autre en conservant sa vitesse. Les portails ne peuvent pas être créés sur toutes les surfaces, mais un essai raté de création de portail n'affectera pas les portails déjà mis en place. Le joueur peut aussi ramasser des objets, mais n'est pas capable de les lancer sur de grandes distances. Ces objets, souvent des cubes de stockage, peuvent être utilisés pour appuyer sur des interrupteurs afin d'activer des plate-formes ou d'ouvrir des portes ou pour faire bouclier contre les tirs des tourelles, mais ces cubes ne peuvent pas être transportés de salle en salle.

Les portails créent une connexion physique et visuelle entre deux endroits différents dans un espace tridimensionnel. Les extrémités des portails sont limitées à des surfaces planes, et, lorsque les extrémités des portails sont situées sur des surfaces non parallèles, des effets géométriques et gravitationnels anormaux peuvent être observés. Un aspect important du jeu est la « redirection de quantité de mouvement. » Les objets conservent leur vitesse quand ils passent à travers un portail, mais leur direction sera modifiée en fonction de l'orientation du portail de sortie. Cela permet au joueur de propulser des objets ou son avatar sur de grandes distances, à la fois verticalement et horizontalement.

Bien que le personnage incarné par le joueur soit équipé de genouillères et autres équipements de protection pour annuler les dégâts lors des chutes, Chell est vulnérable aux dangers qu'elle rencontre, parmi lesquels des tourelles, des boules d'énergie, ou des liquides toxiques électrifiés, et peut mourir très rapidement. Contrairement à de nombreux jeux de tir à la première personne, il n'y a pas de système de points de vie. Une quantité importante de dégâts reçue en un seul coup peut entrainer le décès du personnage, en revanche l'avatar peut recevoir de nombreuses petites blessures sans risquer de mourir.

Le générateur de portails permet au joueur de passer une salle en utilisant plusieurs approches ou techniques. Dans son premier aperçu de Portal, GameSpot constate qu’il existe de nombreuses solutions différentes pour chaque salle, et a noté que le gameplay "devient encore plus fou, et que les schémas présentés dans la bande-annonce affichaient des choses incroyablement folles à essayer." Deux modes additionnels peuvent être débloqués, et proposent au joueur d'utiliser ces méthodes alternatives pour chaque salle. Un mode Challenge est débloqué environ à la moitié du jeu, et un mode Avancé est débloqué lorsque le jeu est achevé. Dans le mode Challenge, les niveaux sont revisités et le joueur doit les terminer avec un nombre de portails limité, avec moins de pas, ou en un temps record. Dans le mode Avancé, certains niveaux deviennent plus complexes avec l'ajout d'obstacles et de dangers supplémentaires.

Le jeu est développé par Valve - déjà connu pour sa franchise FPS à succès Half-Life et pour Counter Strike. D'ailleurs, à sa sortie Portal est intégré au Pack "The Orange Box" comprenant également "Half Life 2 - Episode Two" et Team Fortress 2, deux autres jeux de Valve sortis à la même date que Portal. Qui plus est ce pack est en vente sur la plate-forme de distribution Steam également développée par Valve. Dans certains pays dont la France, ce pack ne sera proposé à la vente que plus d'une semaine plus tard.
Si Steam a été lancé dès 2003, l'explosion du nombre de joueurs coïncide avec la période de la sortie de Portal et "The Orange Box". Le quasi-monopole de Steam comme plate-forme de distribution de jeux-vidéos dématérialisé modifiera en profondeur la manière de jouer à un jeu-vidéo sur PC : en premier lieu Steam impose le modèle de soldes massives et fréquentes. Steam devient aussi quasiment un réseau social avec liste de contact, chat et chat vocal. Steam et les mods. Steam et les jeux en accès anticipés, etc.

Pour résumer : avant 2007 ça va. Mais après la sortie de Portal en 2007, il y a plus que les pouilleux qui jouent sur une console.

1984. Un développeur de jeu, que nous nommeront Will Wright, développe un jeu de pilotage d'hélicoptère.
Rien d'innovant pour l'époque, pas mal de jeu mettent en scène le pilotage d'un engin quelconque dans des situations différentes, généralement avec une vue au dessus de l'engin.

Pendant le développement de ce jeu, Will prend tellement de plaisir à créer les villes que l'hélicoptère survolera qu'il décide de créer un simulateur de gestion de ville. C'est ainsi que commence le projet Sim City, qui sera publié en 1989.

C'est ce qui est, probablement, le premier jeu "sans fin", le joueur continuant sa partie tant qu'il n'est pas en faillite.

Le jeu a un tel succès qu'il sera le premier d'une série au multiples opus et aux nombreuse copie et aura posé de nombreuse base des jeux de type City Builder, dont un dont je parlerai très certainement si personne ne le fait avant.

Depuis 2008 le code source du jeu est passé en licence publique et est trouvable sous le nom de Micropolis, le nom SimCity étant une marque déposée de Electronic Arts.

Pas beaucoup d'anecdote à raconter sur le jeu, mais il est à noté que son créature, Will Wright pour ceux qui suivent pas, est la première personne de l'industrie du jeu vidéo à avoir été nommé Compagnon de la British Academy of Film and Television Art (les BAFTA).

J'ai longtemps hésité entre deux jeux pour cette place, mais la vie et dure et il faut savoir trancher, alors assez tortillé comme ça, le numéro 12 est DOOM.

Rien que de ré-entendre ce thème, ça me rappelle le son des poils qui poussent sur mes testicules de préadolescent

Doom est un classique, une légende qui a donné son nom pendant un long moment à ce qu'on appelle aujourd'hui des FPS.
Suite logique de leur précédent jeu, Castle Wolfeinstein 3D, on y retrouve la même base de gameplay ultra nerveux avec un perso qui fonce et qui dézingue tout ce qui croise son chemin. Là par contre, pas de soldats nazis à l'horizon. Vous êtes le Doom Guy et des démons déferlent par un portail multidimensionnel et c'est à vous de leur faire comprendre qu'ils ne sont pas les bienvenus. Tout au long du parcours vous aller avoir l'occasion d’améliorer grandement votre armement avec un seul objectif en tête : toujours plus de violence!

La course endiablée se calme de temps en temps pour des phases de recherche de clés ou d'un des nombreux secrets afin de viser le 100%, ce qui offre au titre une bonne rejouablité (ça et les niveaux de difficulté qui finissent dans l'absurde)

Après Doom c'est aussi la légende de ses créateurs, Jhon Romero et Jhon Carmack, qui sont devenus limites des rockstars après le succès retentissant du jeu.

Le jeu se trouve facilement aujourd'hui pour moins de 5 balles sur pas mal de support, ce qui fait pas trop cher pour un shoot adrénaline.

Half-life

Developpé par Valve.

Le jeu solo a révolutionné plein de truc, notamment au niveau de l'IA. Et puis merde, une vraie histoire dans un jeu de shoot !

Et puis bon, tous les mods qu'il a engendré, notamment Counter-Strike, qui reste joué par les d'jeuns : mon petit frère de 18 ans mon cadet a acheté un PC exprès pour pouvoir y jouer avec ses copains (il s'est mis aux consoles après avoir eu un PC ! wtf !).

A l'époque j'avais pas de PC, donc j'ai même pas terminé le jeu solo (je jouais chez des potes), mais quel kiff ! Et puis, j'ai passé trop de temps à faire des lan de CS dans les "salle de jeu en réseau" (RIP à elles) ! Beaucoup de bons souvenirs avec les potes.

Voilà, je ferais pas plus long parce que j'ai la flemme, j'aurai du le faire hier, désolé.

Nous sommes en 89.
Les scénaristes Grant Morrison et Dave McKean écrivent un graphic-nivel Batman sobrement intitulé Arkham Asylum.


Le temps passe et nous voila en 2009.
Paul Dibni (scénariste génial de la série Baman de 92 qu'on a tous regardé quand on était gosse) écrit le scénario d'un jeu vidéo qui s'inspire de ce comics.
Le jeux d'action-aventure Batman: Arkham Asylum, développé par Rocksteady Studios et édité par Eidos Interactive, sort en 2009 sur PlayStation 3, Xbox 360 et PC.

Il s'agit là d'un jeu d'action aventure en "open world" 'celui ci est malgré tout restreint à l'asile en elle-même) dans lequel le joueur incarne un Batman se démenant pour contrecarrer la prise de contrôle de l'asile par le joker.

Le jeu est d'une beauté invraisemblable.
L'immersion est totale.
Le scénario brillant.
Les mécaniques de combat, de déplacement, d’interaction avec l’environnement subliment des "dejà-vu vidéoludique" en les sublimant et en leur donnant la cohérence nécessaire à leur intégration dans cet univers.

Bref, le jeu est une véritable réussite, acclamé de partout (il rentrera même dans le guiness book des records en étant le jeu de super-héros le mieux noté de tous les temps par la presse spécialisée) en plus d'être un véritable succès commercial.

Le jeu se verra doté d'une suite et d'un prequel, chacun d'eux n'étant pas aussi innovateur que le premier (ni même aussi bien écrit, en particulier pour arkham origins) mais permettent de renouveler allègrement le plaisir.

Le jeu ressort plusieurs fois dans des éditions jeu de l'année, avec des contenus additionnels etc jusqu'à ressortir en 2016 sur les console nouvelle génération (PS4 et x-box one) dans une compilation des jeux de la série Batman Arkham.

Personnellement, j'ai eu le jeu dès le jour de sa sortie (terminé en 1 week end) puis ai remis la main dessus quelques jours avant la sortie du second opus.
Je viens tout dernièrement de trouver une véritable affaire en or en me commandant les versions collector des rois jeux pour une bouchée de pain, me permettant de déployer les ailes de chauves souris dans cette asile pour la troisième fois.

Bref, arrêter de me lire et aller y jouer. Vous ne le regretterez pas.

Pokemon Red/Green

Le premier épisode d'une franchise inévitable.

Dans le fond, c'est juste un jeu de rôle à la japonaise - mais avec une intrigue tout sauf passionnante et très très très courte. Du coup, le jeu allonge artificiellement sa durée de vie en multipliant les combats inutiles, et en te forçant à farm pendant des heures et des heures.

Et quand tu l'a finit complètement, tu ne l'a pas finit parce qu'une partie du contenu exclusif à l'autre cartouche. Ce qui est complètement discriminatoire envers ceux qui n'ont pas d'ami.
Et puis d'abord comment tu es sensé te faire des amis : tu te présenté "Bonjour, je m'appelle Red, je suis un dresseur Pokemon et je veux être votre ami" et on te répond "Hohoho ! Tu joue a Pokemon, c'est un jeu de gamin !" - comment-tu veux expliquer la profondeur du système de combat à ces ignares qui ne connaissent que le dessin animé et autres produits dérivés.

Bon, admettons que tu achètes une deuxième Game-Boy et une deuxième cartouche, pour terminer le jeu tout seul... et bah, il te manque encore Mew. Il est où Mew ? disponible unique en gagnant un concours qui ne s'est déroulé qu'au Japon.

Pour cette 16ème place je vais vous parler du jeu qui est considéré comme le premier jeu vidéo de rôle en vue subjective : Ultima Underworld.

Celui-ci se passe dans un endroit bien précis de l'univers de la série Ultima: The Great Stygian Abyss, l'endroit le plus ténébreux et maléfique de Britania.
Votre mission ? Retrouver la fille d'un baron qui a été enlevée et emmenée dans l'Abyss.

Le jeu est en monde ouvert et vous pouvez assez facilement vous retrouver dans des zones bien trop difficile pour le niveau que vous avez atteint.

Les fonctionnalités du jeu étaient expliquée dans le manuel tout en laissant une partie à la découverte et/ou au tâtonnement :
-Les mantra : Les mantra sont des récitation que l'on peut faire devant des autels en accumulant de l'expérience. Ceux-ci permettent d'augmenter les compétences du jeu. Quelques mantra (un ou deux si j'ai bon souvenir) étaient écrit dans le manuel du jeu. Le reste était à découvrir dans le jeu. Une liste des mantra connu est trouvable sur internet.
-Les sorts : Le lancement de sort se fait par la combinaison de 2-3 runes. On n'a pas accès a toutes les runes d'entrée de jeu, juste 2 runes. Le manuel de jeu donne une liste de 5 sort pour chacun des 8 cercles (les cercles définissent la puissance du sort) il existe 8 autres sorts a découvrir dans le jeu.

L'interface mélange du point-and-click (on clickait sur les actions que l'on voulait faire: combattre, observer, ouvrir, prendre...) et du mouvement en vue subjective.
En combat, certaines armes avaient des attaques différentes selon l'endroit où l'on cliquait sur l'écran.

Le système d'exploration comportait une carte que l'on pouvait annoter. Celle-ci se complétait au fur et à mesure de notre avancée dans le jeu à la condition que les zones qu'on parcourait étaient assez éclairée que pour pouvoir être indiquée sur la carte.
C'était très drôle d'observer la carte et de voir des trous énormes de zone, parcourue, mais jamais notée sur la carte.

C'est probablement un des jeux sur lequel j'ai passé le plus d'heure de mes 8 à 12 ans et sur lequel j'ai appris le plus de vocabulaire anglais, mes meilleurs compagnons pour me guider étant le manuel du jeu et un dictionnaire Français-Anglais. Je ne compte pas les heures passée à faire du troc avec des nains, à combattre des hordes d'ennemis et de gens que j'avais malencontreusement provoqué (dont des nains), à me perdre dans les labyrinthe obscure du jeu.

Il aura mis son temps à arriver, lui qui a pendant longtemps eu la réputation de meilleurs jeux de tous les temps. Je parle bien évidemment de Zelda, ocarina of time.

Un belle preuve que nintendo a su gerer la transition des ses séries phares de la 2D a la 3D avec cet opus. On retrouve la même structure que dans l' opus précédent, a link to the past, 3 donjons de mise en bouche, et 5 autres derrière pour le coeur de l' histoire, les objets récupérés à chaque donjon, clés des enigmes qui s' y trouvent et souvent arme au poil pour rosser le taulier des lieux. On retrouve aussi le voyage entre deux mondes, une partie de l' aventure se faisant enfant et l' autre, sept ans plus tard dans un hyrule dévasté.

Si le jeux parait désuet aujourd'hui, pour le veinard qui avait eu me courage de ne pas ragequit après une énième cinématique trop longue et le discours infini du hibou (surtout ne pas masher le bouton A pour aller plus vite, c' est un coup a le faire recommencer), s' ouvrait enfin a vous la plaine d' Hyrule.

Pour l' époque, c'était immense, une journée complète pour la traversée et une réelle sensation de liberté, l' ajout du cycle jour/nuit et Epona! A l' époque c' était de la folie.

En plus de la quête principale qui vous prendra bien une trentaine d' heures, votre exploration sera récompensée par les nombreux secrets cachés, quart de coeur, skulltulas, emplacement pour haricot, fées et esprits.

Le jeux est ressorti sur 3ds avec des graphismes améliorés et contient la seconde aventure mastersword, plus difficile et avec des dongeons modifiés.
Ils ont eu le bon gout d'ajouter une cinematique dans le temple de l' eau qui vous évitera de rester bloqué des heures durant dans cet enfer vidéoludique.

Bref, un classique parmis les classiques.

Désolé Nosck, faudra pas compter sur moi pour BOTW.

Fallout 2

Développé par Black Isle Studio en 1998.

Voici un jeu dont on m'avait dis énormément de bien à l'époque, mais que je n'ai fait qu'il y quelques années.
J'étais plutôt habitué aux JRPG, même si j'avais pu tâter un peu Ultima underworld et Baldur's gate. J'allais donc enfin pouvoir prendre le temps de faire un RPG PC chez moi tranquillou...

Tout le jeu a quand même pas mal vieilli : les graphismes ne sont déjà pas folichon pour l'époque, l'interface est lourde par rapport à ce qui se fait aujourd'hui. Le premier contact a été raide, et il m'a fallu un peu de volonté pour persévérer, car cela peut vite se révéler punitif.

Mais quel bonheur une fois qu'on se laisse prendre au jeu !

Après avoir rempli une fiche de personnage classique de jeu de rôle et une petite intro, vous voici lâché dans un monde post-apocalyptique ou une guerre nucléaire a obligé les humains à se réfugier dans des bunkers.
Votre mission : trouver un nouvel eden en kit... Vous allez donc devoir parcourir les Wastelands, un monde ravagé par les radiations.

Et vous serez libre de le faire à votre guise : en étant un gros bourrin qui tape sans réfléchir, ou en étant malin en manipulant les PNJ pour arriver à vos fins. En étant un parangon de vertu ou en faisant tapiner votre femme.

Si Fallout 2 se démarque des autres jeux du genre, c'est par son souci du détail et son écriture : des dialogues riches et drôles, avec un esprit satirique omniprésent ! J'ai adoré me balader pour découvrir un monde plein de petites interactions anodines au premier abord, mais qui peuvent avoir des conséquences sur le reste de la partie. D'ailleurs, la re-jouabilité est énorme, car il y a plein de manière de finir le jeu.

En bref, j'ai ri, réfléchi, ragé, ri à nouveau et eu du mal à décrocher, malgré une interface qui fera fuir toute personne née après la sortie du jeu.

J'ai fait quelques autres RPG PC depuis, mais les resucées d'énième monde d'héroic-fantasy plus ou moins dramatiques me lassent vite, et je n'ai jamais eu la même sensation de liberté. Pas juste une liberté de mouvement : une réelle liberté de jouer comme on l'entends.

SpaceChem

Il s'agit d'un jeu développé par Zachtronics et sorti en 2011. Il s'agit d'un jeu de puzzle, qui a fait la réputation de son développeur dans le genre des jeux de puzzles velus.

Le jeu consiste à faire de la chimie dans l'espace - d'où le nom SpaceChem. A chaque niveau, il t'est demandé d'utiliser des réactifs et des réacteurs pour produire certains types de molécules. Il te revient toutefois de "programmer" les réacteurs nécessaires. Sur une grille de 80 cases (8x10), tu peux :
* définir les cases d'arrivées des réactifs ;
* définir les cases de sortie des molécules produites ;
* définir les cases sur lesquelles se dérouleront les réactions de création/suppression de liaison covalente ;
et surtout
* définir le parcours de deux rails - un rouge, un bleu ;
* positionner jusqu'à un symbole de commande par case et par couleur (rouge/bleu).
Une fois que tu pense que ton réacteur est prêt, tu appuies sur démarrer. Des engins rouge et bleu circulent alors automatiquement sur les rails et suivent les instructions des commandes de leur couleur quand ils passent sur une case.
Si ça fonctionne, tu passes au niveau suivant, sinon tu passe en mode débogage pour analyser où tout a foiré...

Un exemple de réacteur destiné à la production d'ammoniac et de Cyanure d'hydrogène à partie de Méthane et de Diazote : https://www.youtube.com/watch?v=ziSjDLRLOj0
Ce n'est pas "mon" réacteur, mais j'avais abouti à une solution relativement similaire.

Les premiers niveaux ne sont pas trop durs - même si ça se corse progressivement comme dans tous les jeux de puzzles.
Mais dès le début du jeu et à chaque fois que tu finis un niveau, les performances de ton réacteur sont comparées avec les solutions trouvées par tous les autres joueurs. En effet, chaque niveau ne dispose pas d'une solution unique, mais d'une quasi-infinité de solutions plus ou moins optimisées. L'objectif, en fin de compte, n'est pas simplement de terminer le niveau mais aussi de se rapprocher, d'atteindre ou même de battre le record - pour obtenir le réacteur le plus rapide, ou celui utilisant le minimum de symbole de commande.
Deux nouveaux exemples pour illustrer ça : pour le même problème, une solution tentant d'optimiser la vitesse de réaction, et l'autre l'économie de moyen en nombre de commande :
https://www.youtube.com/watch?v=sTqpiA2hb_0
https://www.youtube.com/watch?v=ifYBwUezzcc

Le jeu inclus un éditeur de niveau, et l'accès aux problèmes de la communauté.

C'est le meilleur jeu de puzzle auquel j'aie joué.
Résoudre le problème ne suffit pas, il est toujours possible de chercher une meilleur solution. Et te pousser à chercher cette meilleure solution en comparant tes performances à celles de la communauté. Ça a changé la perspective que j'avais du jeu de puzzle.
Je me suis forcé à à obtenir tous les succès sur Steam, mais ça a été un plaisir et une fierté.

UP

Et hop ! Baldur's gate premier du nom.

Je suis près à croire que le deux est bien meilleur, mais j'ai pas eu la motive de le faire. Poncer le premier 4/5 fois m'a toujours paru une meilleure utilisation de mon temps libre.

C'était mon premier RPG à l'occidentale et du coup une découverte de plein de trucs comme la création du personnage à grands coup de classes, d'alignement et de points de compétences à distribuer (et rafraîchir la page pour avoir en avoir un max), le lore mis à disposition qu'on est libre de parcourir où non et enfin cette immense carte à découvrir où vos pérégrinations vous mettent face à maints dangers.

Beaucoup de mécaniques ont traumatisées à l'époque mon cœur de gamer.

-l'augmentation des pv jouée au dés à chaque montée de niveaux. Un mage à 12pv niveau 5, ça n'aide pas des masses (l'envoyer au Corps à corps non plus vous me direz)

-la mort définitive d'un perso de l'équipe quand il se fait cogner par un golem de chair ou sa transformation en pierre dans un lieu où on ne peut pas revenir par un vol basilic

-La maison des araignée

-la cinématique si on a pas aidé les esclaves de la mine

-un membre de la team qui se barre parcequ'il est pas content de l'orientation du groupe (en plein donjon, of course).

Mais aussi pleins de trucs cools

-le système de combat ou on peut arrêter le temps pour affiner sa stratégie

-la sauvegarde permissive qui permet de réaborder une mission différemment

-l'illusion de la liberté dans ses actions et alignements (parcequ'en vrai, qui va jouer mauvais pour se faire courser perpétuellement par le poing enflammé et payer plus cher en boutique)

-organiser des battle royal entre les membres de sa team

Et surement pleins d'autres truc que les vrais fans de RPG soulignerons mieux que moi.

Bref, c'est toujours un plaisir pour moi d'aller sillonner la côte des épées avec ma Best team

Imoen
Khalid
Jaheira
Minsk
Dynaheir

Love sur vous <3

À toi acwi !

le meilleur jeu c'est pas celui que vous croyez, et vous pouvez très bien déblatérer des arguments à dormir debout pendant des mois et des mois que ça n'y changerait rien, ne vous déplaise.

Super Mario Bros

Développé par Nintendo en 1983 sur Nes.

Le jeu vidéo, après avoir connu un premier âge d'or, est en train de couler à cause d'une surproduction de jeux dont la qualité laisse trop souvent à désirer. Les éditeurs se pètent la gueule les un après les autres...

puis Nintendo lance sa Famicom, taillé pour le grand public, mais avec cette particularité pour l'époque : Ne commercialisé que des jeux ayant un minimum de crières de qualité et de finition.

Avec son produit phare, qui sera le premier d'un putain de longue série de produit phares : Mario Bros.

Vous incarnez un tas de quelques pixels sensés représenter un plombier (en gros il peut rentrer dans des tubes verts qui mènent à un monde souterrain, mais à part ça, j'ai pas vu le rapport avec la plomberie à l'époque) qui a pour mission super originale de sauver une princesse prisonnière d'un dragon (enfin un tas de pixels qui ressemble plus à une tortue avec des cornes, mais bref...)

Pour cela, à l'aide de 4 boutons de directions et de 2 boutons d'actions (courir et sauter), vous devrez parcourir plusieurs niveaux dans un temps limité et sans pouvoir revenir sur vos pas, tout en évitant une panoplie de monstres avec chacun un pattern précis d'actions.

Le principe est très simple, et là où le jeu brille, c'est par sa finition dans les détails.

Tout d'abord une jouabilité au poil de cul. Le personnage répond parfaitement aux commandes, les hitbox sont claires, la difficulté bien dosée et progressive, tout en étant facile de prise en main, même par ma mère qui n'a jamais joué à un jeu vidéo.

L'univers est cohérent, coloré, tout est facilement identifiable. On reconnait aisément les bonus (champignons fleurs, étoiles...) des objets menaçants (les ennemis qui vous tuent par un simple contact), que ça soit par leur visuel ou le son qu'ils émettent.

Des premiers niveaux qu'on essaiera de finir le plus rapidement possible sans s’arrêter de courir au dernier niveau labyrinthique ou on tentera de réfléchir au milieu des ennemis et des boules de feu pour tenter de savoir depuis combien de temps on tourne en rond, on a entre les mains un jeu qui servira d'étalon quand à la qualité de finition d'un jeu vidéo. Même si les bouses existent toujours aujourd'hui, elles sont souvent moins infâmes que la plupart des jeux de consoles sortis sur amiga ou autres consoles antérieures (même si celles-ci pouvaient abriter quelques perles).

Cyberpunk 2077

La sensation de fin 2020 !
CD Projekt RED a utilisé son trésor issu du succès phénoménal de leur titre précédent (The Witcher III, le jeu tellement bien que sa deuxième expansion à elle seule a été désignée comme meilleur RPG 2016) pour offrir un nouveau jeu avec des ambitions encore plus hautes.

Bon, je n'y ai pas encore personnellement joué (le jeu est sorti hier) donc j'ai pas grand chose de plus à dire à son sujet. Ce que je vois c'est que tous les gens en parlent et je leur fait confiance.